"Je ne peux pas leur pardonner"
C'est plus fort que lui: Jacques Manoukian ne pourra jamais pardonner. Cent ans après le génocide arménien, ce Landeronnais de 82 ans nous témoigne sa rancoeur. La seule chose qui pourrait l'apaiser, ce serait que le gouvernement turc reconnaisse ce génocide, qui a fait entre 800'000 à 1,5 million de morts selon les sources.