Les entrepreneurs neuchâtelois lancent un SOS
Le restaurateur chaux-de-fonnier Daniel Carlino a lancé une pétition pour sauver les petites entreprises neuchâteloises, dont la majorité est fermée depuis lundi. Les indépendants - patrons de restaurant, de salon de coiffure ou de cabinet de physiothérapie par exemple - n'ont pas droit au chômage partiel mais doivent toujours s'acquitter des charges liées à leur activité économique. Le responsable du restaurant La Différence redoute que certains entrepreneurs ne s'en relèvent pas si le Canton ou la Confédération ne prennent pas des mesures rapides.