L'islamophobie mène dans le mur
Orateurs de confession musulmane et chercheurs se sont retrouvés pour un café scientifique de l'Université de Neuchâtel. La salle était comble, hier, pour suivre le débat. Les conférenciers ont souligné l'ambiguïté du mot "islamophobe", qui ne tient pas compte des différences présentes au sein de l'islam. Les extrémistes font davantage parler d'eux aujourd'hui que les musulmans modérés. Les intervenants Mallory Schneuwly, Alpaslan Korkmaz et Nadia Karmous ont appelé à plus de rencontres de ce type.