Il a tiré les coups de canon du 1er mars pendant 39 ans
Après son école de recrue en 1961, Alain Jelmi est enrôlé par le beau-père d'un de ses camarades pour venir tirer les coups de canon au 1er mars. Le Neuchâtelois a accompli sa tâche avec passion jusqu'en 2000. Il avait alors été décidé que ces vieilles pièces d'artillerie qui avaient servi lors des deux guerres mondiales pouvaient reposer en paix au musée. Depuis, Alain Jelmi n'a plus célébré la révolution neuchâteloise, mais il se souvient avec le sourire de quelques anecdotes.