Johnson & Johnson licencie, Unia réagit
Les partenaires sociaux neuchâtelois sont sous le choc suite aux annonces du groupe pharmaceutique Johnson et Johnson de licencier 320 personnes dans quatre filiales à Neuchâtel et Marin. Du côté syndical, Unia dénonce un manque de consultation à proprement parler. Le délai, fixé par la multinationale américaine au 11 février, est jugés trop courts. Mais surtout ce qui indigne le syndicat c'est l'absence de dialogue. Les autorités cantonales sont aussi abasourdies et entendent vérifier la légalité de la démarche du groupe pharmaceutique.