Pas de panique, il ne faut pas se mettre à l'abri
La crainte d'un Tchernobyl bis et d'un éventuel nuage radioactif ou d'une attaque au missile nucléaire par Vladimir Poutine inquiètent une partie des Suisses. Outre l'utilisation des comprimés d'iode, la question du nombre de places dans les abris antiatomiques suscitent des interrogations. Mais, selon les spécialistes, il y a de la place (presque) pour tout le monde. Petite visite dans un abri, à La Chaux-de-Fonds, et à l'hôpital de Pourtalès, à Neuchâtel, qui possède une structure prévue pour les périodes de guerre.