Le franc fort s'inscrit peu à peu sur le front de l'emploi
Une à une, les entreprises les plus immédiatement touchées par la crise du franc fort annoncent les mesures qu'elles vont prendre pour réduire leurs dépenses. Cloos Electronic, au Locle, va augmenter le temps de travail de ses employés et baisser leurs salaires. Dans le Jura, à Villeret, Straumann entend payer les frontaliers en euro. Et R. Bourgeois, à Courgenay, va baisser le salaire de ses frontaliers et du directeur.